Roger Muraro
Roger Muraro © J.B. Millot

Roger Muraro

piano et harmonium

Qui dit Liszt pense virtuosité. Au fur et à mesure que la facture instrumentale progresse, le Hongrois tente en effet de rivaliser à son clavier avec le violon diabolique de l’Italien Paganini.

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« Il cherche, devient le précurseur d’une technique de piano moderne, avec une participation du corps, des épaules et du bras, un rôle actif d’amortisseur du poignet, une utilisation très savante de la pédale », résume Roger Muraro. « Mais il était avant tout un sentimental profond qu’un tableau, une sculpture ou la lecture d’un poème pouvait émouvoir – avec Dieu dans tout ça ! », précise encore le Lyonnais dont « Liszt a été et sera autant que possible le compagnon de route ». Ils partent ce soir en pèlerinage, au gré des souvenirs de voyages du cher Franz.

Qui dit Liszt pense virtuosité. Au fur et à mesure que la facture instrumentale progresse, le Hongrois tente en effet de rivaliser à son clavier avec le violon diabolique de l’Italien Paganini.

« Il cherche, devient le précurseur d’une technique de piano moderne, avec une participation du corps, des épaules et du bras, un rôle actif d’amortisseur du poignet, une utilisation très savante de la pédale », résume Roger Muraro. « Mais il était avant tout un sentimental profond qu’un tableau, une sculpture ou la lecture d’un poème pouvait émouvoir – avec Dieu dans tout ça ! », précise encore le Lyonnais dont « Liszt a été et sera autant que possible le compagnon de route ». Ils partent ce soir en pèlerinage, au gré des souvenirs de voyages du cher Franz.