Richard Galliano Sextet
Richard Galliano accordéon/bandonéon
Bertrand Cervera violon
Stéphane Hénoch violon
Jean-Paul Minali-Bella alto
Raphaël Perraud violoncelle
Sylvain Le Provost contrebasse
Galliano
New York Tango extrait de Opale Concerto 3
La Valse à Margaux
Habanerando
Petite suite française
Piazzolla
Otoño Porteño (l’Automne)
Primavera Porteña (le Printemps)
Vivaldi
Concerto n°4 en fa mineur opus 8 RV. 297 L’inverno (L’Hiver)
Concerto n°2 en sol mineur opus 8 RV. 315 L’estate (L’Été)
Galliano
Tango pour Claude (Vie Violence)
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités: nous contacter
Il a fait sienne la devise d’Alfred de Vigny, « une vie réussie est un rêve de jeunesse réalisé dans l’âge mûr ». Et son rêve, il vient de le réaliser à 60 ans en entrant, seul accordéoniste en lice, dans l’écurie Deutsche Grammophon. Adolescent, il est champion du monde d’accordéon, puis il « monte » à Paris et travaille quelques années avec Claude Nougaro qui l’incite à voler de ses propres ailes. Et ce sera la rencontre, décisive, avec celui qui deviendra son mentor, Astor Piazzolla. Il invente le « New Musette », fréquente les grands du jazz, de Chet Baker à Wynton Marsalis, forme un duo avec son ami Michel Portal, joue Bach ou Vivaldi sur son cher Victoria, et fonde en hommage à son second père un ensemble avec des musiciens venus du classique. Son Piazzolla for ever fera le tour du monde. D’où ce programme manifeste entre extraits des Quatre Saisons, qu’elles soient vénitiennes ou argentines, et quelques tubes du maître des lieux, de La Valse à Margaux à son Tango pour Claude.
Il a fait sienne la devise d’Alfred de Vigny, « une vie réussie est un rêve de jeunesse réalisé dans l’âge mûr ». Et son rêve, il vient de le réaliser à 60 ans en entrant, seul accordéoniste en lice, dans l’écurie Deutsche Grammophon. Adolescent, il est champion du monde d’accordéon, puis il « monte » à Paris et travaille quelques années avec Claude Nougaro qui l’incite à voler de ses propres ailes. Et ce sera la rencontre, décisive, avec celui qui deviendra son mentor, Astor Piazzolla. Il invente le « New Musette », fréquente les grands du jazz, de Chet Baker à Wynton Marsalis, forme un duo avec son ami Michel Portal, joue Bach ou Vivaldi sur son cher Victoria, et fonde en hommage à son second père un ensemble avec des musiciens venus du classique. Son Piazzolla for ever fera le tour du monde. D’où ce programme manifeste entre extraits des Quatre Saisons, qu’elles soient vénitiennes ou argentines, et quelques tubes du maître des lieux, de La Valse à Margaux à son Tango pour Claude.