Quatuor Ébène
Pierre Colombet violon
Gabriel Le Magadure violon
Marie Chilemme alto
Yuya Okamoto violoncelle
Mathieu Herzog
alto
Bruno Delepelaire
violoncelle
Strauss
Sextuor pour 2 violons, 2 altos et 2 violoncelles, Prélude de l’opéra Capriccio
Schubert
Quintette à cordes à 2 violoncelles, opus posthume 163 D. 956
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 35€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités : nous contacter
En plus des retrouvailles avec Mathieu Herzog, leur ex-altiste devenu chef, il faudra le renfort de Bruno Delepelaire, ancien complice de Marie Chilemme au sein du Quatuor Cavatine aujourd’hui membre de l’Orchestre Philharmonique de Berlin, pour permettre aux Ébène de faire vibrer les cordes sensibles de Strauss, dont le dernier opéra s’ouvre sur un sextuor tout imprégné de nostalgie.
Puis place à l’immense Quintette en ut de Schubert qui, quoique mâtiné de touches au clair-obscur reconnaissable entre mille, ne semble pas envisager la fin toute proche de son auteur. Entre chant du cygne et célébration de la vie, une heure de musique au plus proche du sublime.
En plus des retrouvailles avec Mathieu Herzog, leur ex-altiste devenu chef, il faudra le renfort de Bruno Delepelaire, ancien complice de Marie Chilemme au sein du Quatuor Cavatine aujourd’hui membre de l’Orchestre Philharmonique de Berlin, pour permettre aux Ébène de faire vibrer les cordes sensibles de Strauss, dont le dernier opéra s’ouvre sur un sextuor tout imprégné de nostalgie.
Puis place à l’immense Quintette en ut de Schubert qui, quoique mâtiné de touches au clair-obscur reconnaissable entre mille, ne semble pas envisager la fin toute proche de son auteur. Entre chant du cygne et célébration de la vie, une heure de musique au plus proche du sublime.