Quatuor Ébène
Quatuor Ébène © Julien Mignot

Quatuor Ébène

Pierre Colombet violon
Gabriel Le Magadure violon
Marie Chilemme alto
Yuya Okamoto violoncelle

Mathieu Herzog

alto

Bruno Delepelaire

violoncelle

En plus des retrouvailles avec Mathieu Herzog, leur ex-altiste devenu chef, il faudra le renfort de Bruno Delepelaire, ancien complice de Marie Chilemme au sein du Quatuor Cavatine aujourd’hui membre de l’Orchestre Philharmonique de Berlin, pour permettre aux Ébène de faire vibrer les cordes sensibles de Strauss, dont le dernier opéra s’ouvre sur un sextuor tout imprégné de nostalgie.

Puis place à l’immense Quintette en ut de Schubert qui, quoique mâtiné de touches au clair-obscur reconnaissable entre mille, ne semble pas envisager la fin toute proche de son auteur. Entre chant du cygne et célébration de la vie, une heure de musique au plus proche du sublime.    

En plus des retrouvailles avec Mathieu Herzog, leur ex-altiste devenu chef, il faudra le renfort de Bruno Delepelaire, ancien complice de Marie Chilemme au sein du Quatuor Cavatine aujourd’hui membre de l’Orchestre Philharmonique de Berlin, pour permettre aux Ébène de faire vibrer les cordes sensibles de Strauss, dont le dernier opéra s’ouvre sur un sextuor tout imprégné de nostalgie.

Puis place à l’immense Quintette en ut de Schubert qui, quoique mâtiné de touches au clair-obscur reconnaissable entre mille, ne semble pas envisager la fin toute proche de son auteur. Entre chant du cygne et célébration de la vie, une heure de musique au plus proche du sublime.