Quatuor de Jérusalem
Quatuor de Jérusalem © Felix Broede

Quatuor de Jérusalem

Alexander Pavlovsky  violon
Sergei Bresler  violon
Ori Kam  alto
Kyril Zlotnikov  violoncelle

 

Leurs seize cordes sont sans doute les plus chaleureuses de la scène chambriste actuelle. Constitué en 1993, reconfiguré en 2010 – recruté par les Berliner Philharmoniker, Amihai Grosz cédait alors l’alto à Ori Kam –, le Quatuor de Jérusalem prolonge la tradition des grandes formations du XXe siècle plutôt que de chercher, à suivre les historicistes.

Ce qui n’a pas empêché le magazine Diapason de le confirmer à l’issue d’une prestation mozartienne comme « l’un des meilleurs ensembles au monde, tant sur le plan de la maîtrise technique que sur celui de l’expression (2023) ». De Chostakovitch, dont ils ont tout joué, ils s’arrêteront ensuite sur le Douzième, lequel, en 1968, lorgnait le dodécaphonisme de Schoenberg sans toutefois rompre avec le monde tonal.

Leurs seize cordes sont sans doute les plus chaleureuses de la scène chambriste actuelle. Constitué en 1993, reconfiguré en 2010 – recruté par les Berliner Philharmoniker, Amihai Grosz cédait alors l’alto à Ori Kam –, le Quatuor de Jérusalem prolonge la tradition des grandes formations du XXe siècle plutôt que de chercher, à suivre les historicistes.

Ce qui n’a pas empêché le magazine Diapason de le confirmer à l’issue d’une prestation mozartienne comme « l’un des meilleurs ensembles au monde, tant sur le plan de la maîtrise technique que sur celui de l’expression (2023) ». De Chostakovitch, dont ils ont tout joué, ils s’arrêteront ensuite sur le Douzième, lequel, en 1968, lorgnait le dodécaphonisme de Schoenberg sans toutefois rompre avec le monde tonal.