Quatuor Artemis
Vineta Sareika violon
Gregor Sigl violon
Friedemann Weigle alto
Eckart Runge violoncelle
Beethoven
Quatuor à cordes n°6 en si bémol majeur opus 18 n°6 Lobkovitz
Quatuor à cordes n°3 en ré majeur opus 18 n°3
Quatuor à cordes n°13 en si bémol majeur opus 130
Quatuor à cordes n°17 en si bémol majeur opus 133
Gande Fugue
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 25€ | 12€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités 20€ (nous contacter)
C’est au quatuor à cordes que Beethoven a confié certaines de ses méditations les plus profondes. Déjà dans le Troisième Quatuor (1798), singulièrement rêveur, et surtout dans le Sixième (1799), fermé avec « La Maliconia », l’un de ses mouvements plus novateurs et touchants. Bien des années plus tard (1825) la palette d’expression s’est encore élargie dans un Douzième Quatuor (1824) traversé par toutes sortes d’émotions, mais dont le cœur reste la sublime . La gigantesque Grande Fugue qui, à l’origine, couronnait ce quatuor reste deux siècles après l’ultime frontière du genre.
Pablo Galonce
C’est au quatuor à cordes que Beethoven a confié certaines de ses méditations les plus profondes. Déjà dans le Troisième Quatuor (1798), singulièrement rêveur, et surtout dans le Sixième (1799), fermé avec « La Maliconia », l’un de ses mouvements plus novateurs et touchants. Bien des années plus tard (1825) la palette d’expression s’est encore élargie dans un Douzième Quatuor (1824) traversé par toutes sortes d’émotions, mais dont le cœur reste la sublime . La gigantesque Grande Fugue qui, à l’origine, couronnait ce quatuor reste deux siècles après l’ultime frontière du genre.
Pablo Galonce