Nikolaï Lugansky
Beethoven
Sonate n°30 en mi majeur opus 109
Sonate n°32 en ut mineur opus 111
Debussy
Estampes
Rachmaninov
5 Études-Tableaux
opus 33 n°2 et 4
opus 39 n°4, 5 et 6
Les Bis !
Rachmaninov
Études-Tableaux opus 39 n°8
Prélude opus 23 n°7
J.-S. Bach
Gavotte
Transcription pour piano de la Partita pour violon n°3 BWV 1006
Chopin
Valse n°7 opus 64 n°2
Théâtre des Champs-Élysées
75€ – 55€ – 40€ – 28€ – 10€ – 5€
Abordées de la sorte, les variations qui referment l’Opus 111 donneront plus que jamais raison à Wilhelm Kempff, qui les considérait comme le «dernier pas qui mène de ce monde-ci dans l’au-delà.»
Avant de peindre les Études-tableaux de Rachmaninov, chez qui il reste sans rival, le pianiste trouvera dans les Estampes de Debussy trois pièces à la hauteur de sa palette intime et délicate.
Aux antipodes du gigantisme de la Hammerklavier qui la précède, la Sonate n°30 de Beethoven aspire à la quiétude, voire au détachement. Savamment ciselée, il en émane pourtant une impression de liberté quasi improvisée. Ce qui en fait une œuvre écrite pour la main de Nikolaï Lugansky, force tranquille du piano russe capable de peser chaque détail sans rien sacrifier de la grande ligne.
Abordées de la sorte, les variations qui referment l’Opus 111 donneront plus que jamais raison à Wilhelm Kempff, qui les considérait comme le «dernier pas qui mène de ce monde-ci dans l’au-delà.»
Avant de peindre les Études-tableaux de Rachmaninov, chez qui il reste sans rival, le pianiste trouvera dans les Estampes de Debussy trois pièces à la hauteur de sa palette intime et délicate.