Nikolaï Lugansky
Mendelssohn
6 Romances sans paroles, pour piano
Opus 19 n°1, mi majeur « Doux souvenirs »
Opus 38 n°6, la bémol majeur « Duetto »
Opus 67 n°4, ut majeur « La fileuse »
Opus 67 n°6, mi majeur « Berceuse »
Opus 67 n°2, fa dièse mineur « Illusions perdues »
Opus 85 n°4, ré majeur « Élégie »
Chopin
Ballade n°3 opus 47
Nocturne opus 27 n°2
Ballade n°4 opus 52
Entracte
Wagner-Brassin/Lugansky
« Entrée des dieux au Walhalla »,
scène 4 de L’Or du Rhin (Das Rheingold)
transcription pour piano
Wagner-Lugansky
Le Crépuscule des Dieux (Götterdämmerung),
extraits
transcription pour piano
Théâtre des Champs-Élysées
75€ – 55€ – 40€ – 28€ – 10€ – 5€
Outre un célèbre Nocturne, Chopin, qui accompagne notre saison, s’invitera à travers deux Ballades. À savoir la Troisième, souvenir du bel été 1841 passé sous le soleil de Nohant, et la très narrative Quatrième qui, l’année suivante, chemine vers d’autres méditations. Dans la tradition des virtuoses du passé, le Russe nous offre aussi un billet pour Bayreuth en arrangeant personnellement quelques extraits du Crépuscule des dieux, dernier volet de la tétralogie de Wagner. De quoi mettre le feu au Walhalla !
De l’intimité feutrée des Romances sans paroles de Mendelssohn à l’extatique Mort d’Isolde transcrite par Liszt – Höchste Lust : « Félicité suprême ! » –, Nikolaï Lugansky nous propose une soirée on-ne-peut plus romantique.
Outre un célèbre Nocturne, Chopin, qui accompagne notre saison, s’invitera à travers deux Ballades. À savoir la Troisième, souvenir du bel été 1841 passé sous le soleil de Nohant, et la très narrative Quatrième qui, l’année suivante, chemine vers d’autres méditations. Dans la tradition des virtuoses du passé, le Russe nous offre aussi un billet pour Bayreuth en arrangeant personnellement quelques extraits du Crépuscule des dieux, dernier volet de la tétralogie de Wagner. De quoi mettre le feu au Walhalla !