Nelson Goerner
Schubert
Sonate pour n°15 en la majeur opus 120 D. 664
Brahms
Variations pour piano sur un thème de Paganini
en la mineur opus 35
Chopin
Nocturne pour piano n°4 en fa majeur opus 15 n°1
Nocturne pour piano n°14 en fa dièse mineur ops 48 n°2
Sonate pour piano n°3 en si mineur opus 58
Théâtre des Champs-Élysées
75€ – 55€ – 40€ – 28€ – 10€ – 5€
Programme splendidement contrasté, par un maître du piano, désormais reconnu comme un des plus grands de notre temps. À une des sonates les plus simplement lyriques de Schubert, confidences murmurées d’un cœur pur, succèdent les sataniques Variations Paganini. Dans ce sommet de virtuosité, Brahms semble avoir conclu un pacte avec le diable. Nelson Goerner aborde ensuite deux Nocturnes, essence même du style de Chopin, compositions limpides et raffinées – traversées aussi d’éclairs de passion -, dont la beauté mélodique n’a d’égal que la richesse de leur harmonie. On retrouve les peines et les joies du compositeur, cette fois-ci à grande échelle, dans sa troisième Sonate, dont le mouvement lent s’apparente à un Nocturne et dont le Finale prend la forme d’une houle rebelle et passionnée.
Programme splendidement contrasté, par un maître du piano, désormais reconnu comme un des plus grands de notre temps. À une des sonates les plus simplement lyriques de Schubert, confidences murmurées d’un cœur pur, succèdent les sataniques Variations Paganini. Dans ce sommet de virtuosité, Brahms semble avoir conclu un pacte avec le diable. Nelson Goerner aborde ensuite deux Nocturnes, essence même du style de Chopin, compositions limpides et raffinées – traversées aussi d’éclairs de passion -, dont la beauté mélodique n’a d’égal que la richesse de leur harmonie. On retrouve les peines et les joies du compositeur, cette fois-ci à grande échelle, dans sa troisième Sonate, dont le mouvement lent s’apparente à un Nocturne et dont le Finale prend la forme d’une houle rebelle et passionnée.