Stravinsky
L'Histoire du Soldat
Didier Sandre Le narrateur
Denis Podalydès Le soldat
Michel Vuillermoz Le diable
Olivier Charlier violon
Bernard Cazauran contrebasse
Philippe Berrod clarinette
Giorgio Mandolesi basson
Bruno Tomba cornet à pistons
Guillaume Cottet Dumoulin trombone
Gabriel Benlolo percussion
Jean-Christophe Gayot direction
En voir plusThéâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (enfants)
Groupes et Collectivités: nous contacter
Œuvre de la nécessité, sortie de la plume de Stravinsky en 1917 alors qu’il trouve refuge en Suisse, l’Histoire du Soldat est l’antipode des grands et fastes ballets de l’ère Diaghilev. Épuisée par les années de guerre, l’époque est chiche et il faut faire de peu : trois acteurs montent sur les tréteaux d’un spectacle ambulant ; une poignée de musiciens les rejoignent pour entonner tour à tour une marche militaire, un paso-doble espagnol, une valse viennoise, un tango argentin et un ragtime américain… Un siècle, jour pour jour, après sa première représentation, c’est au tour de Denis Podalydès, Michel Vuillermoz et Didier Sandre de redonner vie au « Faust Vaudois ». À la tête de sept musiciens de l’Orchestre de Paris, Jean-Christophe Gayot saura flatter la modernité stylistique de la partition, où son geste acéré devrait faire des étincelles.
Œuvre de la nécessité, sortie de la plume de Stravinsky en 1917 alors qu’il trouve refuge en Suisse, l’Histoire du Soldat est l’antipode des grands et fastes ballets de l’ère Diaghilev. Épuisée par les années de guerre, l’époque est chiche et il faut faire de peu : trois acteurs montent sur les tréteaux d’un spectacle ambulant ; une poignée de musiciens les rejoignent pour entonner tour à tour une marche militaire, un paso-doble espagnol, une valse viennoise, un tango argentin et un ragtime américain… Un siècle, jour pour jour, après sa première représentation, c’est au tour de Denis Podalydès, Michel Vuillermoz et Didier Sandre de redonner vie au « Faust Vaudois ». À la tête de sept musiciens de l’Orchestre de Paris, Jean-Christophe Gayot saura flatter la modernité stylistique de la partition, où son geste acéré devrait faire des étincelles.