Le Couronnement de Poppée
L’Incoronazione di Poppea
Opéra en un prologue et trois actes
Livret de G. F. Busenello d’après les Annales de Tacite
Monteverdi
Catherine Trottman
Poppée
Paul-Antoine Benos-Djian
Othon
Ray Chenez
Néron
Victoire Bunel
Octavie / La Vertu
Adrien Mathonat
Sénèque / Consul
Paul Figuier
Arnalta / La Nourrice / Premier familier
Maïlys de Villoutreys
La Fortune / Drusilla / La Demoiselle
Camille Poul
L’Amour / Le Valet
Sebastian Monti
Lucain / Premier Soldat / Second familier
Thibault Givaja
Libertus / Second Soldat
Yannis François
Le Licteur /Troisième familier / Mercure
Le Banquet Céleste
Version concert chantée en italien
Surtitrée en français
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Théâtre des Champs-Élysées
110€ – 95€ – 74€ – 55€ – 30€ – 10€ – 5€
Octobre 2023. La presse est unanime. À Rennes avec cette équipe ci, sous la direction de Damien Guillon, Catherine Trottmann « incarne une Poppée de rêve, au machiavélisme teinté de candeur, au timbre chaud, aux aigus aussi libres que ses vocalises sont précises » (Forum Opéra).
Le magazine belge Crescendo dépêche aussi une envoyée spéciale pour témoigner que « Ray Chenez propose un Néron exceptionnel. Son timbre clair, parfois empreint d’un soupçon d’ombre, crée une couleur très personnelle. » Bref, une distribution de rêve au sein de laquelle « la voix chaude et caressante [de Victoire Brunel en Octavie] sert pleinement l’incarnation d’une femme blessée, humiliée, mais fière et touchante dans sa colère » (Olyrix).
Octobre 2023. La presse est unanime. À Rennes avec cette équipe ci, sous la direction de Damien Guillon, Catherine Trottmann « incarne une Poppée de rêve, au machiavélisme teinté de candeur, au timbre chaud, aux aigus aussi libres que ses vocalises sont précises » (Forum Opéra).
Le magazine belge Crescendo dépêche aussi une envoyée spéciale pour témoigner que « Ray Chenez propose un Néron exceptionnel. Son timbre clair, parfois empreint d’un soupçon d’ombre, crée une couleur très personnelle. » Bref, une distribution de rêve au sein de laquelle « la voix chaude et caressante [de Victoire Brunel en Octavie] sert pleinement l’incarnation d’une femme blessée, humiliée, mais fière et touchante dans sa colère » (Olyrix).
