Grigory Sokolov
Haydn
Sonate (Divertimento) pour piano n°32 en sol mineur
opus 53 n°4 HOB. XVI:44
Sonate (Divertimento) pour piano n°47 en si mineur
opus 14 n°6 HOB. XVI:32
Sonate pour piano n°49 en ut dièse mineur opus 30 n°2 HOB. XVI:36
Beethoven
Sonate pour piano n°27 en mi mineur opus 90
Sonate pour piano n°32 en ut mineur opus 111
Théâtre des Champs-Élysées
95€ – 74€ – 55€ – 30€ – 10€ – 5€
« … sans avoir l’air d’y toucher, Sokolov alterne résonance et son étouffé sur une même note, comme s’il tirait les registres d’un orgue. Et tout cela avec des marteaux sur des cordes ! Il y a sa souplesse de poignet aussi, cet art du trille où l’on a l’impression que même le nombre de battements est calculé. Cette façon de murmurer tout en jouant au fond du clavier, ou de tonner sans être brutal. En un mot, la maîtrise absolue, surhumaine, de quelqu’un qui travaillait encore sur scène une demi-heure avant le début du concert, empêchant le public arrivé en avance d’entrer, et serait capable de démonter et de remonter le piano pièce par pièce. »
Christian Merlin, Le Figaro
« … sans avoir l’air d’y toucher, Sokolov alterne résonance et son étouffé sur une même note, comme s’il tirait les registres d’un orgue. Et tout cela avec des marteaux sur des cordes ! Il y a sa souplesse de poignet aussi, cet art du trille où l’on a l’impression que même le nombre de battements est calculé. Cette façon de murmurer tout en jouant au fond du clavier, ou de tonner sans être brutal. En un mot, la maîtrise absolue, surhumaine, de quelqu’un qui travaillait encore sur scène une demi-heure avant le début du concert, empêchant le public arrivé en avance d’entrer, et serait capable de démonter et de remonter le piano pièce par pièce. »
Christian Merlin, Le Figaro