J'ai des doutes !
J’ai des doutes !
Textes de Raymond Devos *
Musiques originales d’Antoine Sahler **
Chronique « Devos existe »
Ouïr
Mon chien c’est quelqu’un
Parler pour ne rien dire
Caen
Sens dessus dessous
Je zappe
Où courent-ils ?
Je les haies
Le prix de l’essence
Minorités agissantes
Le clou
Musique caressante
Dernière heure
Les choses qui disparaissent
Interlude²
Horoscope
Le plaisir des sens
Les chansons que je ne chante pas
J’ai des doutes
Les oublis
* « Devos existe, je l’ai rencontré » François Morel
** Musiques citées : Le clown est mort Giani Esposito, Emmanuelle Pierre Bachelet, Blue Rondo à la turc Dave Brubeck, Plaisir d’amour Jean-Paul Martini, Les copains d’abord Georges Brassens,
Fugue en do mineur BWV. 575 de J.-S. Bach
Extraits sonores de l’émission Radioscopie de Jacques Chancel – France Inter
Commande de Jeanine Roze Production pour les Concerts du Dimanche Matin
En voir plusThéâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités: nous contacter
« Raymond Devos, mesdames et messieurs, est un miracle qui est apparu, singulier, sur la scène du music-hall français. Il ne ressemblait à personne. Personne, plus jamais, ne lui ressemblera. C’est comme ça. Il faut se faire une raison. Même si on n’est pas obligé… de se faire une raison. Il est plus opportun en évoquant Devos de se faire une folie. Un grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien. Ceux qui l’ont vu s’en souviennent : Raymond Devos fut un phénomène rare. Comme les arcs-en-ciel de feu circulaire, comme les colonnes de lumière, comme les vents d’incendie, comme les nuages lenticulaires, il a surgi, miraculeux et mystérieux, derrière un rideau rouge qui s’ouvrait sur l’imaginaire.
On n’avait jamais vu ça !
Et, devant cet homme en apesanteur, on avait le souffle coupé. »
François Morel
« Raymond Devos, mesdames et messieurs, est un miracle qui est apparu, singulier, sur la scène du music-hall français. Il ne ressemblait à personne. Personne, plus jamais, ne lui ressemblera. C’est comme ça. Il faut se faire une raison. Même si on n’est pas obligé… de se faire une raison. Il est plus opportun en évoquant Devos de se faire une folie. Un grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien. Ceux qui l’ont vu s’en souviennent : Raymond Devos fut un phénomène rare. Comme les arcs-en-ciel de feu circulaire, comme les colonnes de lumière, comme les vents d’incendie, comme les nuages lenticulaires, il a surgi, miraculeux et mystérieux, derrière un rideau rouge qui s’ouvrait sur l’imaginaire.
On n’avait jamais vu ça !
Et, devant cet homme en apesanteur, on avait le souffle coupé. »
François Morel