Fazıl Say, Mathieu Amalric, Serenad Bağcan 1
©DR

Fazıl Say

piano

Mathieu Amarlic

lecture

Serenad Bağcan

chant

Musique de chambre
  1. Memleketim (Ma patrie)*
  2. Comme Kerem **
  3. Le Géant aux yeux bleus **
  4. Sardunyaya Ağıt (Requiem pour un géranium) poème de Can YÜCEL *
  5. Depuis que je suis là dedans **
  6. Düşerim (Je tombe) poème de Metin ALTIOK
  7. C’est un du métier que l’exil ** :
    I. Le Réveil
    II. Promenade du soi
    III. Une heure du matin
    IV. La naissance
  8. Kız çocuğu (La petite fille)
  9. İnsan İnsan (L’homme) poème de Muhyiddin ABDAL *
  10. Sur la vie / de la vie / de la vie III **
  11. La plus drôle des créatures **
  12. Mon frère – version de Yves Montand *

Tout les poèmes et chansons sont de Nâzim Hikmet, sauf indication contraire.
* Chansons : Serenad Bağcan **Poèmes : Mathieu AMALRIC

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Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités: nous contacter

Artiste de tout son être mais aussi citoyen constamment sur la brèche, Fazıl Say ne ménage pas son énergie et son imagination quand il s’agit de grandes causes. L’hommage à Nazim Hikmet en est une, de taille. Le poète turc (1902-1963) lutta toute sa vie pour la liberté et paya son engagement de nombreuses années d’emprisonnement. Initiateur du vers libre dans son pays, ami de Tzara, Eluard et Aragon, il offre, par l’ampleur de sa production et le souffle de son inspiration, une manière d’équivalent dans la Turquie du XXe siècle d’un Victor Hugo. Avec la parole de Mathieu Amalric et la voix de Selda Bağcan, Fazıl Say met son talent d’interprète au service de cet humaniste fervent et figure majeure des Lettres, n’oubliant pas de mêler quelques unes de ses puissantes compositions, toujours  sincères.

Artiste de tout son être mais aussi citoyen constamment sur la brèche, Fazıl Say ne ménage pas son énergie et son imagination quand il s’agit de grandes causes. L’hommage à Nazim Hikmet en est une, de taille. Le poète turc (1902-1963) lutta toute sa vie pour la liberté et paya son engagement de nombreuses années d’emprisonnement. Initiateur du vers libre dans son pays, ami de Tzara, Eluard et Aragon, il offre, par l’ampleur de sa production et le souffle de son inspiration, une manière d’équivalent dans la Turquie du XXe siècle d’un Victor Hugo. Avec la parole de Mathieu Amalric et la voix de Selda Bağcan, Fazıl Say met son talent d’interprète au service de cet humaniste fervent et figure majeure des Lettres, n’oubliant pas de mêler quelques unes de ses puissantes compositions, toujours  sincères.