Éric Le Sage
piano
Quintette Moraguès
Michel Moraguès flûte
David Walter hautbois
Pascal Moraguès clarinette
Pierre Moraguès cor
Patrick Vilaire basson
Mozard
Quintette pour piano et vents en mi bémol majeur K. 452
Schumann
Scènes d’enfants (Kinderszenen) pour piano opus 15
Ravel
Ma mère l’Oye Cinq pièces enfantines M.60
transcription pour piano et quintette à vent
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 25€ | 12€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités 20€ (nous contacter)
Nous remercions Éric Le Sage d’avoir bien voulu remplacer Roger Muraro qui, s’étant blessé à l’épaule, a dû annuler sa participation au concert.
Voilà près de trente ans qu’entre fratrie et amitié, ces cinq mousquetaires, complices depuis le Conservatoire, font du vent et du meilleur aux quatre coins du monde. Mais prudence, ou lucidité, ils n’ont jamais quitté qui sa chaise de soliste dans l’un des grands orchestres parisiens, qui son poste de professeur. Après tout la gloire, c’est aussi une question de calendrier bien agencé. Mais le cercle sait aussi parfois s’agrandir le temps d’un concert, et se mettre sur la touche pour faire place à un piano. Au début des années 90 ce sera celui de Sviatoslav Richter à Moscou pour un concert aussitôt enregistré sur le vif. Depuis de nombreux pianistes ont partagé leurs pénates et aujourd’hui c’est un disciple de Messiaen qui se rappelle avoir appris son Mozart auprès de lui. Mais tous ont gardé leur âme d’enfant et donneront leur version de signée de leur deus ex transcription David Walter, avant de s’effacer poliment pour laisser le piano conclure seul toujours sur ce registre juvénile.
Nous remercions Éric Le Sage d’avoir bien voulu remplacer Roger Muraro qui, s’étant blessé à l’épaule, a dû annuler sa participation au concert.
Voilà près de trente ans qu’entre fratrie et amitié, ces cinq mousquetaires, complices depuis le Conservatoire, font du vent et du meilleur aux quatre coins du monde. Mais prudence, ou lucidité, ils n’ont jamais quitté qui sa chaise de soliste dans l’un des grands orchestres parisiens, qui son poste de professeur. Après tout la gloire, c’est aussi une question de calendrier bien agencé. Mais le cercle sait aussi parfois s’agrandir le temps d’un concert, et se mettre sur la touche pour faire place à un piano. Au début des années 90 ce sera celui de Sviatoslav Richter à Moscou pour un concert aussitôt enregistré sur le vif. Depuis de nombreux pianistes ont partagé leurs pénates et aujourd’hui c’est un disciple de Messiaen qui se rappelle avoir appris son Mozart auprès de lui. Mais tous ont gardé leur âme d’enfant et donneront leur version de signée de leur deus ex transcription David Walter, avant de s’effacer poliment pour laisser le piano conclure seul toujours sur ce registre juvénile.