Emmanuel Pahud © Josef Fischnaller, Benjamin Alard © Bernard Martinez
Emmanuel Pahud © Josef Fischnaller, Benjamin Alard © Bernard Martinez

Emmanuel Pahud

flûte

Benjamin Alard

clavecin

 

Flûtiste le plus célèbre de notre début de siècle – et de la fin du précédent : c’est en 1992 que Claudio Abbado recrutait le jeune homme à Berlin –, Emmanuel Pahud, fidèle de nos dimanches matins, revient (entre autres) à Bach.

Trevor Pinnock, qui l’y accompagnait il y a deux ans, cède aujourd’hui la place à Benjamin Alard, dont l’intégrale en cours des œuvres du Cantor n’en finit pas d’éblouir. Déjà rôdé en Suisse et au Japon, leur duo « se distingue par la fluidité des phrases et un équilibre olympien » (Le Temps). En tandem chez Couperin et Leclair, chacun nous gratifiera aussi d’une pièce solo, dont un accès de Folies de Marin Marais pour le souffleur, sur une sarabande moins espagnole qu’on veut bien le dire.

Flûtiste le plus célèbre de notre début de siècle – et de la fin du précédent : c’est en 1992 que Claudio Abbado recrutait le jeune homme à Berlin –, Emmanuel Pahud, fidèle de nos dimanches matins, revient (entre autres) à Bach.

Trevor Pinnock, qui l’y accompagnait il y a deux ans, cède aujourd’hui la place à Benjamin Alard, dont l’intégrale en cours des œuvres du Cantor n’en finit pas d’éblouir. Déjà rôdé en Suisse et au Japon, leur duo « se distingue par la fluidité des phrases et un équilibre olympien » (Le Temps). En tandem chez Couperin et Leclair, chacun nous gratifiera aussi d’une pièce solo, dont un accès de Folies de Marin Marais pour le souffleur, sur une sarabande moins espagnole qu’on veut bien le dire.