Ensemble Diderot ©Édouard Brane
Ensemble Diderot ©Édouard Brane

Didon et Énée

 

Souvent salué pour ses prestations instrumentales, l’Ensemble Diderot, qui souffle cette année ses quinze bougies, n’en n’est pas à son premier opéra.

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Fin 2020, la bande à Johannes Pramsohler faisait entre autres renaître le Crésus de Reinhard Keiser sur la scène de l’Athénée. Point de rareté cette fois-ci, mais un tube plutôt chambriste librement inspiré à Henry Purcell et Nahum Tate par le Chant IV de l’Énéide de Virgile. Si Didon et Énée reste entouré de mystère, il ira comme un gant aux voix du matin. Dans sa langue maternelle, Anna Wall reprend en effet un rôle peaufiné durant les deux années passées au sein de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris, tandis que Yoann Dubruque réincarne un héros déjà campé à Massy en compagnie de la Belinda d’Apolline Raï-Westphal.

Souvent salué pour ses prestations instrumentales, l’Ensemble Diderot, qui souffle cette année ses quinze bougies, n’en n’est pas à son premier opéra.

Fin 2020, la bande à Johannes Pramsohler faisait entre autres renaître le Crésus de Reinhard Keiser sur la scène de l’Athénée. Point de rareté cette fois-ci, mais un tube plutôt chambriste librement inspiré à Henry Purcell et Nahum Tate par le Chant IV de l’Énéide de Virgile. Si Didon et Énée reste entouré de mystère, il ira comme un gant aux voix du matin. Dans sa langue maternelle, Anna Wall reprend en effet un rôle peaufiné durant les deux années passées au sein de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris, tandis que Yoann Dubruque réincarne un héros déjà campé à Massy en compagnie de la Belinda d’Apolline Raï-Westphal.