Alexandre Tharaud
Mozart
Suite pour pinao en ut majeur K. 399
Gigue pour piano en sol majeur K. 574
Modulierendes Präludium K. 624
Sonate pour piano n°11 en la majeur opus 6 n°2 K. 331
Alla Turca
Schubert
16 Danses allemandes opus 33 D. 783
Beethoven
Sonate pour piano n°31 en la bémol majeur opus 110
Théâtre des Champs-Élysées
65€ – 50€ – 38€ – 26€ – 10€ – 5€
Le chemin a été long, depuis des débuts modestes, l’ascension régulière, jusqu’à l’année 2001 et la parution fracassante d’un disque Rameau qui changea tout. Désormais, l’artiste français se situe au sommet. Un modèle de réussite, mais surtout de persévérance, d’intelligence et de goût. Et une relation de confiance, presque d’amour, instaurée au fil des années avec un public prêt à le suivre dans chacune de ses aventures. Au cours de cette déambulation à travers la « sainte-Trinité » de la musique austro-allemande, le pianiste confirme sa science de l’élaboration des programmes. Il alterne petites pages méconnues de Mozart et son « tube » de la Marche turque, l’avant-dernière et déchirante sonate de Beethoven, et des Danses de Schubert, d’une grâce absolue, élégantes et sensibles, à l’image de leur interprète.
Le chemin a été long, depuis des débuts modestes, l’ascension régulière, jusqu’à l’année 2001 et la parution fracassante d’un disque Rameau qui changea tout. Désormais, l’artiste français se situe au sommet. Un modèle de réussite, mais surtout de persévérance, d’intelligence et de goût. Et une relation de confiance, presque d’amour, instaurée au fil des années avec un public prêt à le suivre dans chacune de ses aventures. Au cours de cette déambulation à travers la « sainte-Trinité » de la musique austro-allemande, le pianiste confirme sa science de l’élaboration des programmes. Il alterne petites pages méconnues de Mozart et son « tube » de la Marche turque, l’avant-dernière et déchirante sonate de Beethoven, et des Danses de Schubert, d’une grâce absolue, élégantes et sensibles, à l’image de leur interprète.