Adam Laloum piano
Quatuor Strada
Pierre Fouchenneret violon
Sarah Nemtanu violon
Lise Berthaud alto
François Salque violoncelle
Fauré
Quatuor pour piano et cordes n°1 opus 15
Brahms
Quintette pour piano et cordes opus 34
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités: nous contacter
Comme au cinéma : animer et bruiter ses dessins
À partir de 7 ans
Plus d’informations
Tout Fauré ou presque est dans sa musique de chambre. Commencé en 1876 et achevé deux années plus tard, ce premier quatuor avec piano frappe immédiatement par les subtiles modulations dictées par le sentiment poétique, la beauté de ses thèmes et par la fermeté du style.
Pensé à l’origine pour quintette, l’Opus 34 de Brahms connut plusieurs métamorphoses. À la suite de critiques formulées par le violoniste Joachim mais aussi par Clara Schumann, le compositeur détruit puis réécrit la partition pour deux pianos cette fois. Cette version intermédiaire ne faisant pas l’unanimité, Brahms la reprend une dernière fois et la fixe dans sa forme définitive.
Commentaire du chef d’orchestre wagnérien Hermann Levi :
«… on n’a rien entendu de pareil depuis 1828 et le quintette en ut majeur de Schubert. »
En compagnie d’Adam Laloum, chambriste hors pair, quelle joie d’accueillir le Quatuor Strada, dont les membres sont individuellement familiers des Concerts du Dimanche Matin.
Tout Fauré ou presque est dans sa musique de chambre. Commencé en 1876 et achevé deux années plus tard, ce premier quatuor avec piano frappe immédiatement par les subtiles modulations dictées par le sentiment poétique, la beauté de ses thèmes et par la fermeté du style.
Pensé à l’origine pour quintette, l’Opus 34 de Brahms connut plusieurs métamorphoses. À la suite de critiques formulées par le violoniste Joachim mais aussi par Clara Schumann, le compositeur détruit puis réécrit la partition pour deux pianos cette fois. Cette version intermédiaire ne faisant pas l’unanimité, Brahms la reprend une dernière fois et la fixe dans sa forme définitive.
Commentaire du chef d’orchestre wagnérien Hermann Levi :
«… on n’a rien entendu de pareil depuis 1828 et le quintette en ut majeur de Schubert. »