C. Tiberghien
Cédric Tiberghien © Frances Marshall

Cédric Tiberghien

piano

Et de deux ! Ou presque : la Chaconne extraite de la Partita pour violon seul BWV 1004 de Bach transcrite pour la main gauche par Brahms ne fera certainement pas doublon avec la réécriture de Busoni que proposait Benjamin Grosvenor en octobre.

Lire la suite

Sous ses airs d’éternel jeune homme, Cédric Tiberghien, dont on sait depuis longtemps les affinités avec le Cantor de Leipzig et l’auteur du Requiem allemand, facilitera la rencontre entre les deux génies avant de relire la plus célèbre sonate de Mozart, connue pour son Rondo alla Turca. Il nous rappellera enfin, grâce aux Variations et fugue sur un thème original opus 35, que le démiurge Beethoven ne manquait ni d’esprit ni d’humour. Héroïque !

Et de deux ! Ou presque : la Chaconne extraite de la Partita pour violon seul BWV 1004 de Bach transcrite pour la main gauche par Brahms ne fera certainement pas doublon avec la réécriture de Busoni que proposait Benjamin Grosvenor en octobre.

Sous ses airs d’éternel jeune homme, Cédric Tiberghien, dont on sait depuis longtemps les affinités avec le Cantor de Leipzig et l’auteur du Requiem allemand, facilitera la rencontre entre les deux génies avant de relire la plus célèbre sonate de Mozart, connue pour son Rondo alla Turca. Il nous rappellera enfin, grâce aux Variations et fugue sur un thème original opus 35, que le démiurge Beethoven ne manquait ni d’esprit ni d’humour. Héroïque !