T. Fellner
Till Fellner © Gabriela Brandenstein

Till Fellner

piano

 

Trente ans après son Premier Prix au Concours Clara Haskil de Vevey – médaille à laquelle on reconnaît les poètes du clavier –, le disciple d’Alfred Brendel a eu le temps d’approfondir les Haydn, Mozart et Beethoven au programme de notre matinée. On ne risque donc pas grand-chose à parier qu’il fera ressortir le côté tendre et lyrique de l’ébouriffante Sonate « Waldstein » du grand Ludwig.

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Avant toute chose, le pianiste viennois ouvrira le récital avec les Impromptus de son compatriote Schubert, l’occasion rêvée de mettre en avant le côté lyrique et sentimental de son jeu.

Trente ans après son Premier Prix au Concours Clara Haskil de Vevey – médaille à laquelle on reconnaît les poètes du clavier –, le disciple d’Alfred Brendel a eu le temps d’approfondir les Haydn, Mozart et Beethoven au programme de notre matinée. On ne risque donc pas grand-chose à parier qu’il fera ressortir le côté tendre et lyrique de l’ébouriffante Sonate « Waldstein » du grand Ludwig.

Avant toute chose, le pianiste viennois ouvrira le récital avec les Impromptus de son compatriote Schubert, l’occasion rêvée de mettre en avant le côté lyrique et sentimental de son jeu.