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Trio Wandererr ©Thomas Dorn

Trio Wanderer

Vincent Coq piano
Jean-Marc Phillips-Varjabédian violon
Raphaël Pidoux violoncelle

« Gassenhauer » ? En allemand familier : rengaine, refrain populaire.
À savoir, dans ce cas, Pria ch’io l’impegno, air alors bien connu du Corsaire par amour de Joseph Weigl que Beethoven varie dans le dernier mouvement de son Opus 11.

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Difficile de lui rêver meilleurs interprètes que les Wanderer, dont l’intégrale des trios du grand Ludwig pour Harmonia Mundi fut distinguée jusqu’au Japon – les lecteurs de Record Geijutsu Magazine, bien sûr, s’en souviennent. Inutile de rappeler que la sensibilité, la clarté et l’équilibre de la formation française vont également comme un gant à Schubert, dont l’œuvre à l’affiche, deuxième du genre, « n’est dédiée à personne, excepté à ceux à qui elle fera plaisir ». On la prend donc pour nous.

« Gassenhauer » ? En allemand familier : rengaine, refrain populaire.
À savoir, dans ce cas, Pria ch’io l’impegno, air alors bien connu du Corsaire par amour de Joseph Weigl que Beethoven varie dans le dernier mouvement de son Opus 11.

Difficile de lui rêver meilleurs interprètes que les Wanderer, dont l’intégrale des trios du grand Ludwig pour Harmonia Mundi fut distinguée jusqu’au Japon – les lecteurs de Record Geijutsu Magazine, bien sûr, s’en souviennent. Inutile de rappeler que la sensibilité, la clarté et l’équilibre de la formation française vont également comme un gant à Schubert, dont l’œuvre à l’affiche, deuxième du genre, « n’est dédiée à personne, excepté à ceux à qui elle fera plaisir ». On la prend donc pour nous.