Fazıl Say
CONCERT ANNULÉ (COVID-19)
Say
Troy Sonata opus 78 (Création française)
Beethoven
Sonate n°8 en ut mineur opus 13 « Pathétique »
Sonate n°17 en ré mineur opus 31 n°2
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Théâtre des Champs-Élysées
75€ – 55€ – 40€ – 28€ – 10€ – 5€
CONCERT ANNULÉ EN RAISON DES MESURES SANITAIRES
COVID-19
Les œuvres purement musicales sur la légende de Troie sont peu nombreuses. Fazıl Say s’est efforcé d’exprimer tous les aspects dramatiques de ce sujet magique dans son imposante Sonate. Donnée en création mondiale en 2018 dans l’ancienne cité de Troie et dans de nombreux pays depuis lors, la sonate « Troie » use d’une palette contemporaine variée, de techniques de composition du 20e siècle et d’expédients modernes comme le jeu à l’intérieur du piano, directement sur les cordes.
Cette fresque musicale aux leitmotivs évocateurs («Le destin tissant sa toile», «La Nuit», «Ménélas», «Pâris», «Le Soleil», «Agamemnon», «Hector», «Héroïsme et Espérance»…) traduit le souffle épique d’une légende presque magique. Nul doute que l’implication scénique de Fazıl Say transcrira, auprès du public, toutes les images que sa partition suggère.
Une oeuvre qui entrera en résonance avec la « Grande Sonate Pathétique » où Beethoven apporte à l’héritage de Haydn (avec lequel il a étudié) un ton radicalement nouveau ; ainsi que « La Tempête », appréciée pour la saveur orchestrale du premier mouvement, la poignante intériorité de l’Adagio et les sonorités perlées de l’Allegretto final.
CONCERT ANNULÉ EN RAISON DES MESURES SANITAIRES
COVID-19
Les œuvres purement musicales sur la légende de Troie sont peu nombreuses. Fazıl Say s’est efforcé d’exprimer tous les aspects dramatiques de ce sujet magique dans son imposante Sonate. Donnée en création mondiale en 2018 dans l’ancienne cité de Troie et dans de nombreux pays depuis lors, la sonate « Troie » use d’une palette contemporaine variée, de techniques de composition du 20e siècle et d’expédients modernes comme le jeu à l’intérieur du piano, directement sur les cordes.
Cette fresque musicale aux leitmotivs évocateurs («Le destin tissant sa toile», «La Nuit», «Ménélas», «Pâris», «Le Soleil», «Agamemnon», «Hector», «Héroïsme et Espérance»…) traduit le souffle épique d’une légende presque magique. Nul doute que l’implication scénique de Fazıl Say transcrira, auprès du public, toutes les images que sa partition suggère.
Une oeuvre qui entrera en résonance avec la « Grande Sonate Pathétique » où Beethoven apporte à l’héritage de Haydn (avec lequel il a étudié) un ton radicalement nouveau ; ainsi que « La Tempête », appréciée pour la saveur orchestrale du premier mouvement, la poignante intériorité de l’Adagio et les sonorités perlées de l’Allegretto final.
