Quatuor de Jérusalem
Alexander Pavlovsky violon
Sergei Bresler violon
Ori Kam alto
Kyril Zlotnikov violoncelle
Mozart
Quatuor à cordes en si bémol majeur K. 458 La Chasse
Bartók
Quatuor à cordes n°1 opus 7 Sz. 40
Beethoven
Quatuor à cordes n°16 en fa majeur opus 135 Muss es sein ? Es muss sein !
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
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Formation chambriste emblématique fondée en 1993, titulaire de nombreux prix internationaux, notamment au convoité concours Schubert de Graz, le Quatuor de Jérusalem est un fidèle des Concerts du Dimanche Matin. Les musiciens qui le composent ont attiré la reconnaissance de leurs pairs, au point que Daniel Barenboim leur a prêté le violoncelle « Sergio Perresson » – du nom d’un célèbre luthier italien du XXe siècle – ayant appartenu à Jacqueline Du Pré. Leur programme sonne comme une invitation au voyage, réunissant trois compositeurs qui ont marqué d’une empreinte profonde le genre du quatuor à cordes. Le savoureux divertissement mozartien, qui est aussi un modèle de rigueur, entre en résonance avec la création si vivante, et à l’expression profonde, de Bartók, avant que l’ultime quatuor de Beethoven ne dévoile toute l’étendue de son humanité.
Formation chambriste emblématique fondée en 1993, titulaire de nombreux prix internationaux, notamment au convoité concours Schubert de Graz, le Quatuor de Jérusalem est un fidèle des Concerts du Dimanche Matin. Les musiciens qui le composent ont attiré la reconnaissance de leurs pairs, au point que Daniel Barenboim leur a prêté le violoncelle « Sergio Perresson » – du nom d’un célèbre luthier italien du XXe siècle – ayant appartenu à Jacqueline Du Pré. Leur programme sonne comme une invitation au voyage, réunissant trois compositeurs qui ont marqué d’une empreinte profonde le genre du quatuor à cordes. Le savoureux divertissement mozartien, qui est aussi un modèle de rigueur, entre en résonance avec la création si vivante, et à l’expression profonde, de Bartók, avant que l’ultime quatuor de Beethoven ne dévoile toute l’étendue de son humanité.