Nikolaï Lugansky
Tchaikovsky
Les saisons pour piano opus 37bis
Chopin
Polonaise-Fantaisie pour piano en la bémol majeur op. 61
Mazurkas pour piano :
– n°1 en si mineur opus 56
– n°3 en ré bémol majeur opus 30
– n°4 en la bémol majeur opus 41
– n°3 en ut dièse mineur opus 50
Barcarolle en fa dièse majeur opus 60
Ballade pour piano n°4 en fa mineur opus 52
Théâtre des Champs-Élysées
75€ – 55€ – 40€ – 28€ – 10€ – 5€
Ce grand seigneur du piano – dont la cote d’amour auprès du public français semble ne jamais devoir faiblir – se confronte aux Saisons de Tchaikovsky, qui font actuellement l’objet de toujours plus d’attention de la part des solistes. Qui s’en plaindrait quand un pianiste à l’ego raisonnable s’en empare, passant de la tendre nostalgie de Juin à la vitalité réjouissante d’Août et au chic de la valse de Décembre avec la même évidence ? Toujours juste, Nikolaï Lugansky magnifie ce cycle au charme contagieux. Sa technique immaculée, sa noblesse innée, la pureté de ses phrasés rendent ensuite justice à trois des partitions les plus inspirées de Chopin, épopées fiévreuses au chant profondément intime.
Ce grand seigneur du piano – dont la cote d’amour auprès du public français semble ne jamais devoir faiblir – se confronte aux Saisons de Tchaikovsky, qui font actuellement l’objet de toujours plus d’attention de la part des solistes. Qui s’en plaindrait quand un pianiste à l’ego raisonnable s’en empare, passant de la tendre nostalgie de Juin à la vitalité réjouissante d’Août et au chic de la valse de Décembre avec la même évidence ? Toujours juste, Nikolaï Lugansky magnifie ce cycle au charme contagieux. Sa technique immaculée, sa noblesse innée, la pureté de ses phrasés rendent ensuite justice à trois des partitions les plus inspirées de Chopin, épopées fiévreuses au chant profondément intime.