Concerto Intaliano
Ensemble instrumental
Rinaldo Alessandrini
Clavecin et Direction
Vivaldi
Concerto pour cordes RV. 156
J.S. Bach
Sinfonia, extraite de la Cantate sa che sia dolore BWV. 209
Vivaldi
Concerto pour cordes RV. 160
Concerto pour flûte traversière RV. 440
Concerto pour cordes RV. 121
J.S. Bach
Concerto Brandebourgeois n°5 BWV. 1050
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités: nous contacter
Véritable homme protée (à la fois claveciniste, pianofortiste, organiste, chef de chœurs et d’orchestre), Rinaldo Alessandrini, malgré un apprentissage musical relativement tardif n’en n’est pas moins devenu une sommité dans le domaine de la musique ancienne et baroque. Il fonde dès 1984 le Concerto Italiano, qui s’impose rapidement dans les Madrigaux de Monteverdi. Le brio et la débauche de vie et de couleurs de cet ensemble de référence éclatent également dans Vivaldi et Bach. Ses membres, qui sont autant de solistes, animent d’une présence intense les concertos du « prêtre roux », si familiers et si changeants à la fois. Ce programme aux airs de fête se termine avec le charme mélodique et la magnificence du très apprécié 5e Brandebourgeois de Bach, qu’on peut légitimement envisager, en raison notamment de l’impressionnante cadence du premier mouvement, comme le premier concerto pour clavecin de l’histoire.
Véritable homme protée (à la fois claveciniste, pianofortiste, organiste, chef de chœurs et d’orchestre), Rinaldo Alessandrini, malgré un apprentissage musical relativement tardif n’en n’est pas moins devenu une sommité dans le domaine de la musique ancienne et baroque. Il fonde dès 1984 le Concerto Italiano, qui s’impose rapidement dans les Madrigaux de Monteverdi. Le brio et la débauche de vie et de couleurs de cet ensemble de référence éclatent également dans Vivaldi et Bach. Ses membres, qui sont autant de solistes, animent d’une présence intense les concertos du « prêtre roux », si familiers et si changeants à la fois. Ce programme aux airs de fête se termine avec le charme mélodique et la magnificence du très apprécié 5e Brandebourgeois de Bach, qu’on peut légitimement envisager, en raison notamment de l’impressionnante cadence du premier mouvement, comme le premier concerto pour clavecin de l’histoire.