Alina Ibragimova
violon
Cédric Tiberghien
piano
Beethoven
Grand duo pour violon et piano en la majeur opus 162 D. 574
Schubert
Fantaisie pour piano et violon en ut majeur opus 159 D. 934 Sei mir gegrüsst
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 25€ | 12€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités 20€ (nous contacter)
La vie est parfois injuste on le sait. Et oui il y a ceux qui non seulement jouent divinement bien mais qui en sus figureraient sans rougir sur les meilleurs papiers glacés. On sait de lui, depuis ses victoires notamment au Reine Elisabeth et au Long-Thibaud, que sous son oeil de velours se cache une main de fer. Il revendique son attachement à Guillels, Rubinstein et Schnabel, surtout pour l’interprétation de Beethoven dont il a joué l’intégrale des concertos cette saison en tournée. Elle, formée à la Gnesin de Moscou puis à Londres à la Menuhin School et au Royal College of Music, a déjà séduit les baguette de Valery Gerghiev, de John Eliot Gardiner de Vladimir Jurowsky ou de Giannandrea Noseda. Les voici réunis, après une intégrale Ravel au disque, sous les auspices de Beethoven ou Schubert, deux compositeurs qui leur tiennent à coeur.
Un Voyage dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».
La vie est parfois injuste on le sait. Et oui il y a ceux qui non seulement jouent divinement bien mais qui en sus figureraient sans rougir sur les meilleurs papiers glacés. On sait de lui, depuis ses victoires notamment au Reine Elisabeth et au Long-Thibaud, que sous son oeil de velours se cache une main de fer. Il revendique son attachement à Guillels, Rubinstein et Schnabel, surtout pour l’interprétation de Beethoven dont il a joué l’intégrale des concertos cette saison en tournée. Elle, formée à la Gnesin de Moscou puis à Londres à la Menuhin School et au Royal College of Music, a déjà séduit les baguette de Valery Gerghiev, de John Eliot Gardiner de Vladimir Jurowsky ou de Giannandrea Noseda. Les voici réunis, après une intégrale Ravel au disque, sous les auspices de Beethoven ou Schubert, deux compositeurs qui leur tiennent à coeur.
Un Voyage dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».