Sissi impératrice

Sissi impératrice

Allez avouons le, on a tous été amoureux un jour de Romy Schneider en Sissi, si si belle, solaire et libre dans un régime corseté, sorte de Lady Di avant la lettre. Le premier volet réalisé en 1955, comme toute la trilogie, par Ernst Marischka, montrait une adolescente au sein d’une famille de conte de fées tombant amoureuse de son cousin l’archiduc pourtant promis à sa sœur aînée. L’amour fera le reste, et même si 15 ans plus tard elle donnera un tout autre visage d’Elisabeth dans le de Visconti, on découvre dans le deuxième épisode une souveraine toujours aussi amoureuse que pétillante, malgré ses quelques problèmes avec l’étiquette et sa belle famille, mais qui finira couronnée par le peuple reine de Hongrie, tandis que Strauss ou Haendel lui tienne la traîne musicale. Et cela tombe plus que bien puisque toutes les petites filles seront invitées ce dimanche à se vêtir en princesse.

 

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».

Allez avouons le, on a tous été amoureux un jour de Romy Schneider en Sissi, si si belle, solaire et libre dans un régime corseté, sorte de Lady Di avant la lettre. Le premier volet réalisé en 1955, comme toute la trilogie, par Ernst Marischka, montrait une adolescente au sein d’une famille de conte de fées tombant amoureuse de son cousin l’archiduc pourtant promis à sa sœur aînée. L’amour fera le reste, et même si 15 ans plus tard elle donnera un tout autre visage d’Elisabeth dans le de Visconti, on découvre dans le deuxième épisode une souveraine toujours aussi amoureuse que pétillante, malgré ses quelques problèmes avec l’étiquette et sa belle famille, mais qui finira couronnée par le peuple reine de Hongrie, tandis que Strauss ou Haendel lui tienne la traîne musicale. Et cela tombe plus que bien puisque toutes les petites filles seront invitées ce dimanche à se vêtir en princesse.

 

Un Voyage  dans la « Vienne d’hier » en musique au Théâtre des Champs-Élysées, au Cinéma Le Balzac et avec le livre-disque édité par Deutsche Grammophon « Stefan Zweig, le musicien ».