Quatuor Artemis
Vineta Sareika violon
Gregor Sigl violon
Friedemann Weigle alto
Eckart Runge violoncelle
Beethoven
Quatuor à cordes n°4 en ut mineur opus 18 n°4 Lobkovitz
Quatuor à cordes n°16 en fa majeur opus 135
Muss es sein ? Es muss sein !
Quatuor à cordes n°7 en fa majeur opus 59 n°1 Razumovsky
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 25€ | 12€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités 20€ (nous contacter)
Ecrit dans l’une des tonalités préférées de Beethoven, le Quatuor à cordes n° 4 (1798) cache une expression dramatique derrière une certaine nostalgie. Ce même mélange se trouve dans son dernier quatuor, le n° 16 (1825), ironique sortie de scène où le compositeur se passe de tout schéma préconçu pour trouver une liberté totale. Quant au premier des Razoumovski, le quatuor n° 7 (1806), il représente l’apogée de la période médiane de Beethoven qui, avec une virtuosité jusque là inconnue, pousse la logique classique jusqu’à ses dernières conséquences.
Pablo Galonce
Ecrit dans l’une des tonalités préférées de Beethoven, le Quatuor à cordes n° 4 (1798) cache une expression dramatique derrière une certaine nostalgie. Ce même mélange se trouve dans son dernier quatuor, le n° 16 (1825), ironique sortie de scène où le compositeur se passe de tout schéma préconçu pour trouver une liberté totale. Quant au premier des Razoumovski, le quatuor n° 7 (1806), il représente l’apogée de la période médiane de Beethoven qui, avec une virtuosité jusque là inconnue, pousse la logique classique jusqu’à ses dernières conséquences.
Pablo Galonce